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1907-1983. Dès les années 1930, Yolande Fièvre découvre l’automatisme et abandonne définitivement tout aspect académique de la peinture. Sans cesse à la recherche du temps et du paradis perdus, elle produit une création brute, enfin débarrassée d’un apprentissage voulant à tout prix la dompter et domestiquer ses démons. Source:Paris.18evous
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